Mis en équipe, ils ont profité des activités proposées par le personnel du site : kayak, tir à l'arc et VTT. Les maîtres d'internat ont organisé, de leur côté, un parcours chronométré. Ils étaient aussi entourés de Madame Meyer, de quelques professeurs et assistants d'éducation, de quatre Sœurs Oblates et du Père Antoine de Moismont. L'après-midi s'est terminé avec la célébration eucharistique. De retour à Troyes un bon repas attendait nos internes après la remise des récompenses aux équipes gagnantes. 

Cette journée aura laissé de beaux souvenirs et permis de tisser de beaux liens entre nos élèves. 

La Journée en photos : 

Certains auront peut-être entendu parler de son acte héroïque au camp d'Auschwitz, pour d’autres il est encore un illustre inconnu. Qui est-il donc ? Cet article donne quelques éléments qui pourront, nous l’espérons, inspirer nos élèves durant toute cette année. 

Un enfant difficile : 
Raymond Kolbe est né en 1894 en Pologne, dans une famille pieuse. Indépendant, violent et têtu, il a 10 ans quand il est repris par sa maman qui lui dit : « Raymond, que deviendras-tu ? ». Il s’en va alors prier. Par la suite il confiera à sa maman :

« J’ai eu beaucoup de peine et je suis allé demander à la Sainte Vierge ce que je deviendrai… La Sainte Vierge m’est apparue, en tenant deux couronnes, l’une blanche et l’autre rouge. Elle m’a regardé avec amour et m’a demandé laquelle je choisissais ; la blanche signifie que je serai toujours pur et la rouge que je mourrai martyr. J’ai répondu : « Je choisis les deux ! »

C’est à ce moment-là que Raymond devient plus sérieux et change radicalement de comportement.  

Sa vocation :
Raymond se sent appelé à servir Dieu. Mais ses parents n’ont pas les moyens de subvenir à l’éducation des leurs trois fils. C’est l’aîné qui est choisi pour devenir prêtre et pour poursuivre ses études. Raymond, lui, aide efficacement sa mère à la maison ou dans la boutique familiale. Il accepte cette situation généreusement et joyeusement. Mais un jour qu’il est envoyé à la pharmacie, il confie au pharmacien ses difficultés pour étudier. Derrière son comptoir, l’homme lui propose alors de lui donner lui-même des leçons pour pouvoir passer les examens tout comme son frère. Il se révèlera un excellent élève. 

Il a 13 ans et son frère 15, quand ils rencontrent des franciscains Autrichiens de passage. Ils leur proposent de les rejoindre. C’est alors, qu’avec leur père, ils passent la frontière clandestinement pour se rendre au petit séminaire franciscain. C’est en 1910 qu’il reçoit l’Habit et le nom de Frère Maximilien. 

Ses études : 
Frère Maximilien se révèle brillant et sérieux, il est donc envoyé à Rome en 1912 pour poursuivre ses études. Il sera ordonné prêtre en 1918 et en 1919 il recevra les titres de Docteur en philosophie et Docteur en théologie. Son but : « Être un saint, le plus grand possible. » Il veut ramener la terre entière au Christ, avec l’aide de Marie.

Le journaliste de l’Immaculée : 
C’est pendant son séjour à Rome, en 1917, qu’il fonde avec quelques frères "la Milice de l'Immaculée", mouvement marial au service de l'Eglise et du monde. Son amour de la Vierge Marie, l’inspire aussi de créer un journal mensuel en 1922 : « Le chevalier de l’Immaculée ». Il sera, chaque mois, distribué à près de 780 000 abonnés. C’est pour habriter l’imprimerie, car le couvent devenait trop étroit, qu’il créé la « Cité de l'Immaculée » : Niepokalanow, en 1927. Ce nouveau couvent attire de nombreuses vocations. En 1939, il abritera plus de sept cents frères et publiera trois revues. C’est le Père Kolbe qui en est le responsable. 

Le missionnaire :
En 1930, le Père Maximilien se rend au Japon. Il y restera jusqu’en 1936.  C’est lui qui en fait la demande à son Supérieur car il veut « Conquérir le monde entier, toutes les âmes, au Christ, par l’Immaculée. » Là-bas, il fonde avec quelques autres franciscains, une nouvelle cité mariale avec une édition japonaise de la revue, avant de devoir rentrer en Pologne pour le bien de l’ordre. 

Le prisonnier :

Le 5 septembre 1939 sur l’ordre des autorités civiles, les franciscains de Niepokalanow sont dispersés. Seuls une quarantaine de frères décident de rester sur place avec le Père Kolbe. Ensemble ils soigneront les malades, accueilleront les polonais d’origine juive… jusqu’à ce qu’ils soient arrêtés et emprisonnés.  Le futur saint sera finalement libéré puis arrêté de nouveau en 1941. C’est alors qu’il est conduit au camp d'Auschwitz. 
Dans le dernier numéro du Chevalier de l’Immaculée, il a écrit : 

« On ne peut déguiser la vérité. Tout ce que nous pouvons, et devons faire, c’est la rechercher, et lorsque nous l’avons trouvé, la servir jusqu’au bout. »

Servir cette vérité, c’est ce qu’il a fait jusqu’au bout. En prison, il est frappé en raison de sa foi, il mais accueille tout paisiblement. Pour lui, c’est une occasion de témoigner de l’Amour dans un système qui ne fonctionne que par la haine.  Quelques soient les origines de ses codétenus, il les réconforte, leur donne le sacrement de la réconciliation. Avec eux, il prie, il chante. C’est ce qu’il fera encore jusque dans le bunker de la faim. 

Le 31 juillet 1941, un détenu s’est évadé. La règle du camp prévoit alors, en représailles, que dix autres soient choisis pour être condamnés à mourir de faim. Parmi eux, un père de famille se met à pleurer. Le Père Maximilien se risque alors auprès des SS : « Je voudrais mourir à la place de ce prisonnier ». C’est lui qui mourra en dernier, martyr de la charité, le 14 août suite à une injection létale qu’il recevra.  Mais c’est après avoir soutenu chacun de ses compagnons. Au lieu des plaintes et des gémissements, ce sont des hymnes, des prières que les geôliers entendaient se propager de cellules en cellules. Ils sont morts dans la paix, l’abandon à Dieu au lieu de la révolte. 

« Que notre amour se manifeste particulièrement quand il s'agit d'accomplir des choses qui ne nous sont pas agréables. Pour progresser dans l'amour de Dieu, en effet, nous ne connaissons pas de livre plus beau et plus vrai que Jésus-Christ crucifié. » Saint Maximilien Kolbe - Lettre à un ami

Cliquez sur le texte pour accéder au document correspondant 

Pour l'ECOLE : 

• Fournitures M1
• Fournitures M2
• Fournitures M3
• Fournitures CP
• Fournitures CE1
• Fournitures CE2 
• Fournitures CM1
• Fournitures CM2
• Fournitures CDC3

Pour le COLLEGE :

• Fournitures Sixième
• Fournitures Cinquième
• Fournitures Quatrième
• Fournitures Troisième

Pour le LYCEE :

• Fournitures lycée

Pour l'INTERNAT : 

• Fournitures internat

Après, un week-end de Pentecôte dans les familles, les élèves ont assisté, le mardi 21,  au changement du drapeau. Celui du Cours a laissé place à celui du Québec : un beau signe d’accueil.

Tout au long de la semaine, les élèves canadiens ont pu découvrir la richesse du patrimoine français, bien plus vieux que le leur ! Ils sont allés à Paris, ont aussi visité Troyes (cathédrale, Cité du vitrail…), ils ont aussi participé à des cours aux côtés de leur binôme français. Vendredi, veille du départ, une soirée Karaoké a rassemblé élèves et familles d’accueil dans une joyeuse ambiance.

Quelques photos :

Nous vous proposons un retour en images sur ces beaux voyages. 

Madrid : 

Londres : 

Italie : 

Le jeune médecin, séminariste et surfeur a inspiré le Père Richard Lukaszewski, qui lors de son homélie, nous a invité à « surfer sur l’Evangile » et à ne pas rater la vague. En effet, la journée a commencé par la Messe dans l’église St Urbain où tous les élèves du lycée, entourés de quelques parents et accompagnés de leurs professeurs, étaient rassemblés. Le Père Antoine de Moismont était aussi présent ainsi que le Père René-Sébastien Fournié. Ce dernier a fait le déplacement depuis Pau où il est prêtre et surfeur !  Le second parrain de la promotion venait de moins loin, il s’agit de Florian Mare, champion handisport Aubois de golf.  

Durant la célébration trois lycéennes ont fait leur première des Communions. 

De retour au Cours, dans le gymnase Louis Brisson, ont eu lieu les traditionnels discours : celui de Sœur Anne-Véronique, les explications du choix du blason par les élèves, les présentations des classes, les remerciements… sans oublier les discours des parrains de promotion. Le Père René-Sébastien a notamment encouragé les élèves à prendre conscience de la chance qu’ils ont et d’être dans la gratitude pour cela. La qualité des discours préparés par les élèves a été appréciée par tous.

Lors du verre de l’amitié dans le jardin, la bonne entente et la cohésion de la promotion était palpable. La joie se lisait sur les visages. 

Après le bon repas de fête, les élèves se sont rendus en bus à Saint André pour différentes activités et une rencontre avec leurs parrains. 

Découvrir le thème d'année

L’accès à la santé pour tous est un des piliers du développement durable. C’est sur ce pilier que nos éco-délégués se sont appuyés pour monter leur projet. Ils ont en effet eu connaissance des difficultés de Cyril, atteint de la myopathie de Duchenne. Cet élève de seconde risque dans les années à venir, de perdre totalement l’usage des ses jambes. Il a donc besoin d’un fauteuil roulant électrique. Mais ce fauteuil coûte très cher. Nos élèves ont donc décidé de trouver un moyen d’aider Cyril et sa famille pour financer cet achat. 
Pour cela chaque élève du collège et du lycée, mais aussi quelques grands élèves de primaire, les professeurs et le personnel ont réalisé des tours de course ou de marche (chaque tour faisait un peu plus de 500m) pour rapporter de l’argent. Ils ont dû auparavant trouver des parrains qui ont fait  des promesses de don pour chaque tour parcouru. 
Les élèves se sont donc succédés toute la journée au Parc des Moulins pour courir. L’association des parents d’élèves était présente et assurait la distribution d’une collation pour les participants. La Croix Rouge, quant à elle, était mobilisée, si besoin, pour les premiers soins. Les journalistes de Canal 32 et de l’Est-Eclair se sont aussi déplacés pour l’événement. 
Nous avons vécu une très belle journée dans une ambiance très joyeuse où les élèves se sont encouragés les uns les autres pour faire un maximum de tour. Cyril était bien sûr présent avec ses parents. Une belle somme d'argent pourra être remise grâce à ce bel effort de solidarité. 
Bravo à tous !

La journée en photos : 

Les 10 correspondants ont pu suivre les cours avec leur binôme le matin. Vendredi 22, l’après-midi, les élèves italiens (par groupe de 2) ont découvert la ville de Troyes. Ils devaient répondre à des questions imaginées par les professeurs. Ils ont été ainsi obligés de poser des questions aux commerçants, à l’office du tourisme, à des passants... Samedi 23, ils sont allés à Paris et lundi 25 ils ont visité la cathédrale et notre CDI.  Mardi, ils sont venus dans les cours d’italien pour se présenter et répondre aux questions des élèves. 

Durant leur séjour à Troyes, ils ont été reçus très chaleureusement par Madame Royer à l’hôtel de ville. Elle s’est montrée ravie de ce lien avec l’Italie et a rappelé les liens forts unissant nos 2 pays sur le plan linguistique, culturel et humain.

Comme chaque année, acteurs, lecteurs et choristes (dont quelques collégiens), se sont préparés durant plusieurs semaines sous la houlette de Sœur Brigitte-Espérance et de Sœur Hélène-Françoise. Ils ont retracé les dernières étapes de la vie de Jésus, du lavement des pieds à la mise au tombeau. Cette année quelques éléments faisant écho au monde actuel ont été ajoutés dans les tableaux. Nos élèves nous ont offert un très beau temps de recueillement et de prière avant que ne s’ouvre la Semaine Sainte. 

Cette représentation a été l’occasion, pour trois collégiennes, de faire leur entrée en catéchuménat. S’ouvrent donc pour elles, un temps de préparation qui les amènera au baptême. Les élèves de sixième préparant leur Profession de foi, ont quant à eux, reçu leur croix, à l’issue de la représentation. 

Nous remercions chacun pour son investissement et souhaitons que ce moment puisse aider chacun à grandir dans la foi. 

Bonne fête de Pâques !

Le projet d’échange s'est concrétisé par leur voyage du 14 au 23 février. Ils ont été accueillis par les élèves de l’Académie Saint Louis de Québec et leurs familles.

Au programme de leur séjour :

Vendredi 16 février : visite de Québec en bus puis et découverte des chutes de Montmorency. Les élèves ont aussi pu accompagner leur correspondant en classe. La journée s’est achevée avec un tournois de Pee-Wee (hockey)
Samedi 17 et dimanche 18 : journée avec la famille d’accueil
Lundi 19 : journée à la station Duchesnay avec promenade en raquettes et ski, le soir mini-putt fluo (golf)
Mardi 20 : visite de la citadelle et du centre de Québec et déjeuner dans un restaurant amérindien
Mercredi 21 : escape game le matin et après-midi « magasinage », c’est-à-dire shoping puis soirée à la cabane à sucre avec des chants, danses…

Nous accueillerons les Québécois à Troyes du 18 au 25 mai 2024.

En images : 

Des classes de sixième à celles de terminales, tous nos élèves ont pu vivre ce temps de recueillement à l’entrée du temps de Carême, chacun selon ses propres convictions.

Nous avons profité de cet évènement liturgique pour faire vivre aux élèves de secondes leur demi-journée de ressourcement spirituel. Mercredi matin, ils se sont tous rassemblés au gymnase Louis Brisson. De 8h à 10h, deux élèves ainsi qu’une intervenante en culture religieuse leur on fait découvrir la vie de Jésus à travers des saynètes. Ils les amenaient à visionner des extraits d’un film retraçant les miracles de Jésus et surtout sa Passion. Certains découvraient pour la première fois l’histoire de Jésus.

Après la récréation, ils se sont retrouvés en groupe pour échanger sur ce qu’il avait appris et sur ce qui les avait touchés. Ils ont ensuite choisi un verset biblique qu'ils ont été invités à  l’écrire sur la frise de Carême située sous le préau. Les élèves d'autres confessions religieuses ont eu un groupe de partage spécifique pour échanger entre eux. La matinée s'est terminé à l'église Saint Urbain pour la célébration des cendres.

Cette année nos efforts se concentreront pour soutenir les enfants de Namibie où se dévouent les Sœurs Oblates. L’objectif est de pouvoir leur permettre de vêtir les enfants très pauvres de leur uniforme qui est obligatoire à l'école en Namibie.

Notre journée en images : 

Dans la cours du primaire, la musique a mis une ambiance joyeuse qui a ravi les élèves... scouts, policier, princesses... tous étaient heureux. CertainS dansaient alors que d'autres réclamaient des photos. 

Au collège et au lycée, ceux qui le souhaitaient ont pu défiler et recevoir une récompense pour l’originalité de leur déguisement. Le jury composé de professeurs a retenu plusieurs critères pour récompenser les costimes les plus orginaux, drôles, faits mains. Il n'a pas été aisé de désigner les gagnants. Les gagnants ont reçu un sachet de bonbons comme lot. Nous avons passé de beaux moments de fête.

Pour fêter mardi gras, les parents de l'APEL étaient aussi venus à la récréation du matin pour vendre des crêpes aux élèves sous le préau. Le bénéfice des ventes des crêpes de l'APEL permet toujours de financer les nombreux projets de sorties pédagogies ou autres.

Le soir à l'internat a eu lieu une soirée festive, très appréciée de nos élèves internes. 

Nous remercions chacun pour sa bonne humeur et sa participation.  

Nos élèves en images :

Le lundi 12 février, Mme Bernhard a remis aux élèves de 4ème un chèque cadeau de 100 € à utiliser dans le magasin Chemin de Vie comme récompense pour la participation au concours départemental. Et Mme Defert leur a remis un chèque de 100€ de la part de l’APEL académique pour leur 2nde place au concours. Leur crèche en vitrail a eu du succès !

L’APEL départemental, remettra aussi bientôt un bon d'achat de 100 euros à dépenser au Chemin de Vie aux élèves des classes maternelles et primaires pour la réalisation de trois crèches pour le concours.

Cet argent sera utilisé pour la pastorale de l’établissement.

Bravo à tous !

Nous avons préparé cette journée de fête depuis des semaines : logistique, décors, répétitions, costumes… quitte à chambouler l’organisation habituelle de l’établissement. Mais les efforts de tous ont été récompensés, c’est une très belle journée que nous avons pu partager ensemble.

Les professeurs, parents et même élèves ont prêté main forte pour garnir et tenir les stands qui ont ouverts dès 12h : jeux, marché de Noël,  pâtisseries, bonbons, bar, salon de thé, crêpes, paninis et frites… avec comme nouveauté, et pour s’accorder au thème : la friture de poisson.  Les élèves qui partiront au Canada avaient quant à eux créé avec beaucoup d’imagination leur stand ambulant pour financer leur voyage. Les anciens élèves avaient préparé leur stand, heureux de se retrouver et d’accueillir les anciens qui ne rateraient pour rien au monde cette grande fête annuelle. Quelques mesdemoiselles et messieurs Loyal, bénévoles parmi nos élèves, invitaient à se rendre aux différents stands.

A partir de 15h30 la cafétéria, transformée en coulisse pour les 210 élèves participant au spectacle, s’est animée. Une joyeuse effervescence a gagné chacun. Pour l’un c’était la recherche de son costume perdu; pour d’autres, l’ajustement d’un nœud, d’un col ou d’un chapeau. Un dernier maquillage pour parfaire le tout et il n’y avait plus qu’à attendre le moment où chacun serait appelé pour entrer sur scène ! En passant près de Sr Anne-Catherine, les élèves attrapaient leurs accessoires indispensables. Puis ce fut l’attente dans l’escalier rouge avant d’entrer sur scène. Silence ! Il ne fallait gêner ni les spectateurs, ni ceux qui étaient déjà sur scène. Quand le moment est venu, tout va très vite, les artistes se pressèrent derrière le rideau, puis le franchir pour une danse, la lumière noire ou un tableau du jeu scénique ou même un chant. Les applaudissements se sont fait entendre et puis ce fut le retour dans les coulisses. Les élèves n’avaient alors plus qu’à attendre leur passage pour le spectacle suivant.

C’est ainsi que se sont succédés les 3 spectacles de 1h45 chacun entre 16h à 22h. La joie d’avoir accompli ensemble quelque chose de beau se lisait sur les visages. Elle l’emportait sur la fatigue qui se faisait sentir, alors qu’une certaine nostalgie gagnait certain : pour les terminales, c’était la dernière fois !

Merci à tous pour votre participation !